Les Lettres DUne Libertine Castorama (1/1)
Pour celles et ceux qui suivent mes frasques libertines, celle que je vais vous écrire concerne notre dernière sortie en lieu original. Cela faisait quelques temps que nos rencontres étaient organisées au profit de petites pluralités de 2-3 blacks dans des chambres dhôtel et je trouvais cette routine finalement beaucoup moins excitante.
Jen touchais deux mots à mon homme, à lissu dune de ces rencontres hôtelières sur le trajet du retour, les orifices encore bien ouverts et cérébralement comblée dorgasmes par les jolis sexes qui mavaient entrepris durant 90 minutes.
Une quinzaine de jours suivants, linvitation me parvint par mail au boulot, alors que mon esprit était à tout autre chose.
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INVITATION AUX PLAISIRS (originaux)
Thème : Le bon diamètre des choses
Lieu : NIORT
Consignes : Obéir aux ordres qui seront donnés pour bien mesurer les choses.
Dress-code : Bas couture « noirs », porte-jarretelles noir à 8 sangles, corset art-déco, manucure sobre et talons hauts. Lingerie sexy et petite robe qui se remonte facilement, pas de culotte. Rosebud avec pierre violette déjà inséré. Piercing clitoridien bleu
Date et heure : Dimanche à 15h30 sur place Prévoir 45min de trajet.
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Javais eu le samedi pour me faire chouchouter par mon esthéticienne préférée (il faudra que je vous raconte dailleurs un jour) et parfaire la douceur de toutes les parties qui intéressent les hommes. On était dimanche matin, le petit jour se levait et mon homme était dhumeur coquine et titillait mon intimité depuis son réveil, sans doute que la douceur et la moiteur de la chose venait faire bouillonner ses hormones naturelles.
Sa bouche me dévora avec tendresse, lenteur et sa langue se fit sensuelle et exploratrice.
Je ne résistais pas très longtemps à ce traitement, dautant que 2 doigts venaient de sy ajouter, jouant avec mon plafond vaginal. Jexplosais dun bel orgasme et emprisonnais la tête de mon mâle dans le tourbillon qui prenait mes cuisses.
Il se leva avec une très jolie érection matinale, me frustrant de la pénétration que jespérais à suivre. « Tu auras la suite dans laprès-midi, cétait juste pour teaser un peu ma salope » me dit-il en passant dans la salle de bain.
Cest donc quelques heures après que je me retrouvais avec un petit courant dair frais entre mes jambes gainées de nylon, sur un parking de Niort que je devinais goudronné, les yeux bandés depuis 10 min et les mains dans celles de mon homme qui me guidait à la voix.
Une porte métallique claqua à louverture et une voix grave très virile nous proposa dentrer rapidement. Une odeur dessence ou de graisse ce fit sentir, mélangée à celle du carton. Jadore ces ambiances qui vous transportent dun seul coup dans un voyage cérébral. Qui, combien, où venaient déclencher mon envie et titiller mon désir dêtre la proie de mâles pour quelques instants.
Des mains me saisirent, libérant celles de mon homme et des gestes rapides, efficaces me positionnèrent en levrette debout, appuyée contre un support enveloppé dun emballage plastique épais. Ma robe fut troussée, dévoilant mes bas et leur porte-jarretelle et mon intimité rapidement explorée par plusieurs mains. Deux ? non trois ! et 2 souffles dans ma nuque et mon visage.
Des bisous sensuels pour lun, des gestes directifs pour lautre.
Puis une main fit pression sur mon crâne et alors que mon partenaire pris position assise sur lemballage plastique, je descendais entre ses jambes pour découvrir avec ma langue un sexe hirsute mais sentant le propre, en demi érection surmonté dun gland champignonesque.
Le « suces salope » fut de trop
je savais bien pourquoi jétais là et je délivrais à ce mâle autoritaire la fellation danthologie quil ne devait pas vivre habituellement. Je mappliquais à bien descendre sur la hampe jusquà la touffe et nhésitais pas à lui faire vivre une gorge profonde, le sexe étant compatible avec ma capacité, enveloppant le tout de ma langue avant de remonter lentement mais redescendre plus prestement. Je sentais la membrure gonfler et se tendre à chaque enveloppement.
Puis dun seul coup, un gémissement se terminant en grognement se fit entendre et une salve libératrice de sperme jaillie. Il navait pas pu tenir très longtemps et se déversait dans ma bouche en maintenant ma tête pour pas que je ne me dégage. Il était soit gros producteur naturel soit abstinent depuis plusieurs jours tellement la dose emplissait ma bouche. Au retrait de la verge qui mollissait à vue de langue, je recrachais la semence qui coula de mon menton vers ma poitrine, puis dans le décolleté, remplissant mon corset dun chaud-froid collant.
Je fus relevée par les autres mains, et emportée vers un autre lieu à proximité. Mon homme me demanda descalader quelque chose et me positionner à quatre pattes sur un support dur et froid, croupe bien offerte. Mon bandeau ayant un peu glissé je découvrais que jétais positionnée sur un espèce détabli entouré de machines de bricolage neuves, la lumière de néon violente éclairait la scène.
Un liquide froid vint me rappeler que le 2ème partenaire était tout disposer à soccuper de moi tandis que le 1er, venait à nouveau soccuper de mes tétons douloureusement.
Jaccueillais dans un feulement denvie la chose, me cambrant pour quelle puisse entrer jusquau bout. Il était long et ses testicules vinrent enfin se poser sur le charnu de mes lèvres. Il était en butée et javais quune crainte cest que ce partenaire soit un pilonneur.
Mais non, son retrait était doux et laissait une sensation de grand vide avant quil ne revienne, avec un mouvement ample et mesuré, en moi, frottant ma paroi anale garnie du rosebud. Ce mâle connaissait bien son instrument et les femmes. Il manuvrait large avec un roulement de bassin venant amplifier mes sensations et élargissant ma fente, caressant mon plafond, appuyant sur la zone sensible. Cest moi qui partit, à mon tour, dans les tours dun orgasme long et profond occasionnant un micro jet dexcitation sur le plateau de létabli. Des spasmes venaient envelopper le sexe de mon partenaire qui manifesta sa satisfaction. « haaaaa je te sens palpiter de plaisir !! ».
Puis son pouce se fut inquisiteur, il venait prendre dans ma fente et autour de son sexe de quoi lubrifier mon anneau de bronze. Il retira avec douceur le rosebud qui sy trouvait, puis le caressa, le creusa, plus loin puis plus large. Il répétait lopération tout en reprenant son mouvement ample de bassin dans mon vagin, me replongeant dans un état de désir incroyable. Il était doué le bougre, mon anus souvrait de plaisir et mon esprit réclamait cette large sodomie à venir.
Mes genoux donnant des signes de fatigue, je fus transportée dans des bras puissants sur le capot dun engin, allongée sur le dos, des mains se saisirent de mes chevilles et vinrent écarter mes jambes. Mon passé de danseuse classique dans ces moment-là est très utile et je mouvre beaucoup ce qui excite fortement mes partenaires.
Le gland se positionna sur mon anus, un peu de liquide froid me surpris à nouveau et la colonne de chair senfonça en moi.
Il ouvrait mes chairs comme rarement, je sentais la poussée dans le moindre recoin de mon fondement. Quest-ce quil était long et large. Heureusement que javais suivi la consigne de mon mari de mettre mon rosebud avant. Le gel était généreux, fourni par le 1er complice qui retrouvait sa forme et qui vient me donner à lécher son gros gland. Je vous laisse imaginer les commentaires salaces qui fusaient et ses mains maintenant fermement mon compas à son maximum.
Le travail anal se poursuivait et nous étions fusionnels, chacun ressentant la montée de lautre dans la jouissance. Je déclenchais en premier mon explosion de plaisir, il se retira très vite de mon anus, le latex claqua et il minonda la fente et le bas du ventre dune jolie pluie chaude. Un râle puissant vint clôre notre plaisir conjoint.
Le 1er partenaire étala la semence chaude sur mon bas ventre et tout en se branlant puis vint me présenter ses doigts à lécher « lèches moi ça, salope, cest le jus de ton étalon ». Jy passais la langue mais pour tout vous avouer je nétais déjà plus dans le trip, bien trop comblée par ce qui mavait été offert via mes orifices.
Je fus surpris de recevoir, sans avertissement une 2ème salve de sperme sur la bouche, mon dominateur venant conclure son excitation par une 2ème éjaculation manuelle. Jen avais partout tellement la quantité était à nouveau au rendez-vous.
Le bandeau me fut retiré et je découvris que jétais en plein milieu dun rayon de machines-outils, allongée sur le capot dun kasher, où des coulures de plaisir étaient visibles. Quel plaisir de fréquenter un magasin de bricolage ainsi alors que dhabitude cest une vraie corvée pour moi.
Le 1er me souris et me félicita, le 2ème membrassa avec sensualité, un doigt venant titiller mon clitoris comblé.
Jai depuis fréquenté, en horaires douverture au public, ce magasin en compagnie de mon homme. Et à chaque fois que je passe devant le nettoyeur haute pression jaune, je ne peux pas mempêcher de repenser à ce mouvement de bassin et cette membrure formidablement remplissante. Je suis sûre que mon homme le voit à létincelle de mon regard et au petit clin dil que je lui lance de manière complice. Et je dois dire quil ne my traine plus de force
je découvre le magasin différemment et jai quelques envies de tests coquins sur différents autres rayons !
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